Gribouilli est la 1ère association professionnelle de gardes d’enfant d’IDF, fondée en mai 2017, dont le but est la professionnalisation et la valorisation des métiers de petite enfance, en particulier d’accueil à domicile et chez l’assistante maternelle.
Gribouilli a mis en œuvre un programme d’ateliers et du suivi individuel gratuits accessible à une communauté apprenante de plus de 400 franciliennes (en poste, en recherche d’emploi, en insertion, en régularisation). Un principe fort est l’autonomisation par la participation active et volontaire au développement, à l’animation des activités professionnalisantes et à l’accompagnement de parent-employeurs.
Ainsi elles sont 100 à avoir adhéré (cotisation annuelle de 10€ et frais de dossier de 10€) et donc à participer activement, et 35 parmi elles, nommées « Ambassadrices », assument des responsabilités et prennent part aux décisions avec la présidente Aminata Diouf, elle-même garde d’enfant. Gribouilli fait ainsi émerger des solutions « par et pour les nounous » s’inscrivant dans les Objectifs de Développement Durable de l’ONU pour une éducation de qualité (petite enfance et formation professionnelle), du travail décent et le développement économique, la conciliation des temps de vie et l’égalité de genre (mère-employeuses et employées), l’égalité des chances et enfin les partenariats à fort impact. 30% des adhérentes sont parisiennes et 60% y travaillent (ou y ont récemment travaillé). Elles seraient 10 à 20 000 à Paris. Gribouilli accompagne des publics en insertion inscrits par le PLIE (CASPE) et l’Ecole de la 2ème chance, et développe un projet avec AGF17-18.
En 1 an et demi, Gribouilli a été récompensé par les Trophées de l’ESS (DAE-Mairie de Paris), Ariane de Rothschild Fellowship (Prix int’l de la Meilleure Entreprise Sociale pour l’inclusion), par France Active-PIE (Fonds de confiance), par Deloitte/Empow’her et bénéficie des soutiens financiers des Cigales d’IDF, et en accompagnement ou probono de la couveuse Epicéas, Live for good, Le plus important, de la fondation Segeco, et nouvellement de l’accélérateur Finkela de Singa.